Pour qui allez vous voter ?
Modérateurs : Centaure, Harlock, Taz
- LionHeart
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Pour qui allez vous voter ?
Les amis, j'ai besoin de votre aide !
Je ne sais pas faire la différence entre la gauche et la droite !
Quelqu'un peux m'expliquer ? Car on ma toujours dit : La gauche c'est pour le peuple, la droite c'est pour l'état !
Alors bon je suis un peu perdu !
Et si vous pouvez voté anonymement aux sondage sa serait gentil, c'est uniquement pour moi, je veux pas qu'un débat politique se concentre et foute la merde ! C'est uniquement pour m'orienter face aux chiffres, savoir si je pense comme la majorité etc....
Je veux pas finir plus bête que je le suis alors un ptit coup de pouce SVP !
merci beaucoup !!!
Et pas de commentaires sur vos votes SVP ! Juste vous votez, c'est un sondage, pas un débat !!! Re merci !
Nan mais j'insiste sur le fait que vous ne commentez pas votre vote !
Puis j'ai oublier de vous dire aussi, ne commentez pas votre vote, C'est ANONYME !
Tiens, y 'a un ami qui veux ecrire un mot :
Jean Gustave dit "Ne commentez pas vos votes "
:smly205: :smly205: :smly205: :smly205:
PS : Vu que les options du sondages sont très limité (et sa serait bien de les augmenters) ceux qui vont voté pour les candidats qui ne sont pas dans cette liste, cliquez sur LionHeart, sa fait office de "Autre" Merciiii
Je ne sais pas faire la différence entre la gauche et la droite !
Quelqu'un peux m'expliquer ? Car on ma toujours dit : La gauche c'est pour le peuple, la droite c'est pour l'état !
Alors bon je suis un peu perdu !
Et si vous pouvez voté anonymement aux sondage sa serait gentil, c'est uniquement pour moi, je veux pas qu'un débat politique se concentre et foute la merde ! C'est uniquement pour m'orienter face aux chiffres, savoir si je pense comme la majorité etc....
Je veux pas finir plus bête que je le suis alors un ptit coup de pouce SVP !
merci beaucoup !!!
Et pas de commentaires sur vos votes SVP ! Juste vous votez, c'est un sondage, pas un débat !!! Re merci !
Nan mais j'insiste sur le fait que vous ne commentez pas votre vote !
Puis j'ai oublier de vous dire aussi, ne commentez pas votre vote, C'est ANONYME !
Tiens, y 'a un ami qui veux ecrire un mot :
Jean Gustave dit "Ne commentez pas vos votes "
:smly205: :smly205: :smly205: :smly205:
PS : Vu que les options du sondages sont très limité (et sa serait bien de les augmenters) ceux qui vont voté pour les candidats qui ne sont pas dans cette liste, cliquez sur LionHeart, sa fait office de "Autre" Merciiii
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- Tanguy
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en clair...tu vas te ralier à la majorité?
j'ai pas commenté mon vote là!...
non j'ai pas commenté...
parce que si j'voulais commenter...eh...ben...woah!!!...nondidiou!!!!...
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:smly239: :smly239: :smly239: :smly239: :smly239: :smly239: :smly239: :smly239: c'est pas un commentaire ça,non c'est pas :smly239: :smly239: :smly239: :smly239: :smly239: :smly239: :smly239: :smly239:
bon d'accord je pose mon vote quand même!
j'ai pas commenté mon vote là!...
non j'ai pas commenté...
parce que si j'voulais commenter...eh...ben...woah!!!...nondidiou!!!!...
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bon d'accord je pose mon vote quand même!
TROUD'AIR POW'AIR !
Moi je suis contre les sondages car ça detruit les amitiés mais je penses quand meme que le mec (ou la meuf) qui t'a dit que " La gauche c'est pour le peuple, la droite c'est pour l'état ! " etait legerement de gauche !!!! stop, je n'en dirais pas plus...
moi en tout cas je vote pour toi LionHeart !
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Non non, certainement pas ! Je vote blanc Tout simplement parce que j'ai confiance qu'en 2 personne sur cette terre, la 1ère c'est moi et l'autre c'est aucun de ceux la :smly200:troud'air a écrit :en clair...tu vas te ralier à la majorité?
Plus sérieusement, ce vote est pour savoir de nos jours, chez les vrais samaritains, qui serait notre chef de rang, et comprendre pourquoi !
C'est à but uniquement personnel ! C'est pour cela que j'insiste sur le fait que ce n'est pas un débat !
Et la question primaire je le répète est de m'expliquer, avec des mots simple, la différence entre la droite et la gauche !
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Une vraie Amitié n'est cloturé de nul barrière !Nembourg a écrit :Moi je suis contre les sondages car ça detruit les amitiés
Mon Meilleur Ami connait exactement toutes mes pensées, comme je connais les siennes ! C'est pour cela que nous sommes meilleurs Amis !
Ceux qui ne respecte pas les gens qui ont des autres idées que les siennes sont des gens qui eux même ne se respecte pas ! Car n'importe ou dans le monde, vous trouverez toujours une personne qui n'aura pas les mêmes idées que vous !
Avant d'accuser les gens de n'être pas dans le droit chemin, il faut tout d'abord comprendre pourquoi ils ne pensent pas comme vous ! Personne n'est parfait mais tout le monde née sur la même planète ! Et si la vie de chacun est différente, il faut accepter que chacun est des idées différentes ! La plus noble des causes est de comprendre son prochain afin de vous faire comprendre vous même !
C'est donc inutile de mettre un vote pour avoir une explication !!LionHeart a écrit : C'est à but uniquement personnel ! C'est pour cela que j'insiste sur le fait que ce n'est pas un débat !
Et la question primaire je le répète est de m'expliquer, avec des mots simple, la différence entre la droite et la gauche !
Maintenant c'est une histoire assez complexe qui obligatoirement rentre dans un débat, car il y a plusieurs façon de voir la politique et la différence entre la gauche et la droite !!
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whiteVner91 a écrit :Maintenant c'est une histoire assez complexe qui obligatoirement rentre dans un débat, car il y a plusieurs façon de voir la politique et la différence entre la gauche et la droite !!
C'est bien vraie au fond !
Je vais donc demander à verrouiller le post car je viens d'apprendre que la seule explication que je puisse avoir est celle que me procurera mon expérience ! ET je suis pas encore prêt à écouter seul ce que la politique a à raconter !
Je ferais donc comme les autres années : Laisser à César ce qui appartient à César
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Le vote n'a strictement rien à voir avec la demande d'explication de la différence de la droite et la gauche.whiteVner91 a écrit :C'est donc inutile de mettre un vote pour avoir une explication !!LionHeart a écrit : C'est à but uniquement personnel ! C'est pour cela que j'insiste sur le fait que ce n'est pas un débat !
Et la question primaire je le répète est de m'expliquer, avec des mots simple, la différence entre la droite et la gauche !
LE VOTE est à but uniquement personnel ! C'est pour cela que j'insiste sur le fait que ce n'est pas un débat !
la question primaire je le répète est de m'expliquer, avec des mots simple, la différence entre la droite et la gauche !
Voici un extrait d'une célèbre encyclopédie, histoire de faire avancer le schmilblick :
GAUCHE & DROITE, histoire politique
Les grandes échéances électorales depuis 1974, notamment, ont mis en évidence les résonances passionnelles que continuent de susciter en France les termes de droite et de gauche. Qu’expriment précisément ces notions ? Y a-t-il unité ou pluralité de chacune d’elles ? Nul ne songe à contester l’existence historique d’une droite et d’une gauche : la place de droite étant, dès l’Antiquité, tenue pour la place d’honneur, les ordres privilégiés (clergé et noblesse) se trouvaient placés à la droite du siège royal, et les députés du tiers état (qui devaient fournir sa masse principale à la majorité révolutionnaire) à sa gauche, dès la réunion des États généraux ; c’est à Versailles, le 28 août 1789, que les députés de la Constituante, afin de faciliter le décompte des voix, se séparèrent en deux groupes ; par analogie avec la Chambre des communes où le parti au pouvoir siège à droite, les partisans d’un droit de veto absolu pour le roi se placèrent à droite du président, les tenants d’un régime constitutionnel dans lequel le roi ne jouerait qu’un rôle amoindri, à gauche. Le centre l’emporta : on s’entendit sur une transaction et un veto suspensif... Dès le 15 septembre, Mirabeau parle de « géographie » de l’Assemblée : l’habitude ne sera momentanément abandonnée que sous la Convention, en faveur d’une autre répartition topographique, les partisans de Robespierre siégeant sur les gradins supérieurs (la Montagne contre la Plaine). Droite et gauche ou, comme les appela François Goguel, ordre établi et mouvement continueront à s’affronter.
Plusieurs raisons ont été avancées ces dernières années pour contester la pérennité de cette opposition. Selon les uns, droite et gauche seraient l’expression d’idéologies surannées fondées sur des débats périmés. À cette critique technocratique s’est ajoutée une critique politique, celle du gaullisme qui a prétendu transcender le clivage par de multiples réformes, au premier rang desquelles la mise en œuvre de la participation. Il faut noter à ce propos que si la droite est souvent favorable à une politique sociale avancée, elle seule a longtemps contesté la réalité d’un phénomène qui semblait la gêner. Le terme de droite n’était pas populaire, et plusieurs mouvements, comme autrefois la Gauche républicaine au Sénat, ont usurpé un adjectif qui cachait leur conservatisme réel. En fait, comme elles existent historiquement, droite et gauche ont également une réalité psychologique. Des tests, des sondages, des entretiens non directifs ont tenté d’isoler et de caractériser des attitudes et des comportements de gauche et de droite. L’homme de gauche croirait au progrès, à la transformation de l’homme et de la société, à la justice plutôt qu’à l’ordre ; l’homme de droite croirait, pour sa part, à la Nature, à la religion, à l’autorité. L’un serait pacifiste, anticapitaliste, l’autre préférerait l’injustice au désordre. On peut ainsi aisément classer tout individu sur un axe droite-gauche. La conception d’un tel axe pose un autre problème, celui de l’unité ou de la pluralité de chaque camp. Là encore, historiquement et psychologiquement, il existe plusieurs gauches et plusieurs droites. Selon Georges Lefranc, il y a eu successivement, bien qu’elles aient parfois coïncidé, une gauche libérale et parlementaire, inspirée par Benjamin Constant, dont le rôle a pris fin avec le début de la IIIe République ; une gauche démocratique et anticléricale, inspirée par Condorcet puis par la franc-maçonnerie et les radicaux et qui, malgré quelques soubresauts en 1924 et 1954, a décliné depuis 1919 ; une gauche socialiste et communiste enfin qui a su se constituer en force d’alternance dans le jeu des institutions de la Ve République, mais doit gérer depuis lors, outre ses propres dissensions, pour la partie socialiste, son expérience du pouvoir et, pour la partie communiste, l’effondrement de ses références à travers le monde. Quant à la droite, René Rémond y a distingué également trois tendances qui survivent : une droite ultra, contre-révolutionnaire, que l’Action française et diverses ligues ont représentée au XXe siècle ; une droite libérale, orléaniste, qui a toujours accepté facilement le régime politique ; une droite nationaliste enfin, plus autoritaire et plus réformatrice, dont le bonapartisme, le boulangisme et le gaullisme auraient été les avatars successifs. La dimension psychologique laisse apparaître des deux côtés des positions extrêmes et des positions modérées ; elle met également en évidence la survie — en termes de sociologie politique plus que de représentation électorale, il est vrai — d’un centre, différent du marais constitué par ceux qui ne s’intéressent pas à la politique. La France voterait à droite ou à gauche mais souhaiterait être gouvernée au centre.
GAUCHE & DROITE, histoire politique
Les grandes échéances électorales depuis 1974, notamment, ont mis en évidence les résonances passionnelles que continuent de susciter en France les termes de droite et de gauche. Qu’expriment précisément ces notions ? Y a-t-il unité ou pluralité de chacune d’elles ? Nul ne songe à contester l’existence historique d’une droite et d’une gauche : la place de droite étant, dès l’Antiquité, tenue pour la place d’honneur, les ordres privilégiés (clergé et noblesse) se trouvaient placés à la droite du siège royal, et les députés du tiers état (qui devaient fournir sa masse principale à la majorité révolutionnaire) à sa gauche, dès la réunion des États généraux ; c’est à Versailles, le 28 août 1789, que les députés de la Constituante, afin de faciliter le décompte des voix, se séparèrent en deux groupes ; par analogie avec la Chambre des communes où le parti au pouvoir siège à droite, les partisans d’un droit de veto absolu pour le roi se placèrent à droite du président, les tenants d’un régime constitutionnel dans lequel le roi ne jouerait qu’un rôle amoindri, à gauche. Le centre l’emporta : on s’entendit sur une transaction et un veto suspensif... Dès le 15 septembre, Mirabeau parle de « géographie » de l’Assemblée : l’habitude ne sera momentanément abandonnée que sous la Convention, en faveur d’une autre répartition topographique, les partisans de Robespierre siégeant sur les gradins supérieurs (la Montagne contre la Plaine). Droite et gauche ou, comme les appela François Goguel, ordre établi et mouvement continueront à s’affronter.
Plusieurs raisons ont été avancées ces dernières années pour contester la pérennité de cette opposition. Selon les uns, droite et gauche seraient l’expression d’idéologies surannées fondées sur des débats périmés. À cette critique technocratique s’est ajoutée une critique politique, celle du gaullisme qui a prétendu transcender le clivage par de multiples réformes, au premier rang desquelles la mise en œuvre de la participation. Il faut noter à ce propos que si la droite est souvent favorable à une politique sociale avancée, elle seule a longtemps contesté la réalité d’un phénomène qui semblait la gêner. Le terme de droite n’était pas populaire, et plusieurs mouvements, comme autrefois la Gauche républicaine au Sénat, ont usurpé un adjectif qui cachait leur conservatisme réel. En fait, comme elles existent historiquement, droite et gauche ont également une réalité psychologique. Des tests, des sondages, des entretiens non directifs ont tenté d’isoler et de caractériser des attitudes et des comportements de gauche et de droite. L’homme de gauche croirait au progrès, à la transformation de l’homme et de la société, à la justice plutôt qu’à l’ordre ; l’homme de droite croirait, pour sa part, à la Nature, à la religion, à l’autorité. L’un serait pacifiste, anticapitaliste, l’autre préférerait l’injustice au désordre. On peut ainsi aisément classer tout individu sur un axe droite-gauche. La conception d’un tel axe pose un autre problème, celui de l’unité ou de la pluralité de chaque camp. Là encore, historiquement et psychologiquement, il existe plusieurs gauches et plusieurs droites. Selon Georges Lefranc, il y a eu successivement, bien qu’elles aient parfois coïncidé, une gauche libérale et parlementaire, inspirée par Benjamin Constant, dont le rôle a pris fin avec le début de la IIIe République ; une gauche démocratique et anticléricale, inspirée par Condorcet puis par la franc-maçonnerie et les radicaux et qui, malgré quelques soubresauts en 1924 et 1954, a décliné depuis 1919 ; une gauche socialiste et communiste enfin qui a su se constituer en force d’alternance dans le jeu des institutions de la Ve République, mais doit gérer depuis lors, outre ses propres dissensions, pour la partie socialiste, son expérience du pouvoir et, pour la partie communiste, l’effondrement de ses références à travers le monde. Quant à la droite, René Rémond y a distingué également trois tendances qui survivent : une droite ultra, contre-révolutionnaire, que l’Action française et diverses ligues ont représentée au XXe siècle ; une droite libérale, orléaniste, qui a toujours accepté facilement le régime politique ; une droite nationaliste enfin, plus autoritaire et plus réformatrice, dont le bonapartisme, le boulangisme et le gaullisme auraient été les avatars successifs. La dimension psychologique laisse apparaître des deux côtés des positions extrêmes et des positions modérées ; elle met également en évidence la survie — en termes de sociologie politique plus que de représentation électorale, il est vrai — d’un centre, différent du marais constitué par ceux qui ne s’intéressent pas à la politique. La France voterait à droite ou à gauche mais souhaiterait être gouvernée au centre.