[TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
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Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
une série de brèves pour la soirée
Voici les dernières perles de nos assureurs
Le centre de documentation et d'information de l'assurance publie les bévues les plus amusantes trouvées dans le courrier des assurances.L'orthographe, le vocabulaire et la grammaire sont d'origine...
C'est parti
Je vous serais obligé de m'adresser le courrier concernant mon accident a un de mes amis M .... car, pour la passagère blessée, ma femme n'est pas au courant, et il vaut mieux pas. Je compte sur votre compréhension pour ne pas déshonorer un honnête père de famille?
Il faut dire à ma décharge que le poteau que j'ai buté était caché par l'invisibilité du brouillard.
Ma voiture gênant la circulation, un portugais m'a aidé à la mettre sur le trottoir, ainsi que ma femme qui rentrait de son travail.
Je désire que ma voiture soit utilisable accidentellement par mes enfants majeurs considérés comme novices.
En qualité du plus mauvais client de votre agence (neuf accrochages en 1 an), je vous demande d'avoir le plaisir de résilier mon assurance auto avant la date d'échéance.
J'ai été victime d'un accident du travail alors que je faisais la sieste sous un pommier. J'ai été blessé par une dent de râteau qui m'est tombée sur le pied. La dent était accompagnée du râteau.
L'accident est survenu alors que je changeais de fille.
J'ai bien reçu la fiche de mon épouse, je ne manquerai pas de vous renvoyer cette dernière dûment remplie par mes soins.
Je suivais la voiture qui me précédait qui après que je l'ai dépassé m'a suivie, c'est alors qu'elle m'a choquée en plein derrière et m'a forcé par la choquer moi aussi le derrière de celle qui était devant.
Il me semble que ma petite affaire va bouger au printemps, ce dont je serais heureux.
Circonstances de l'accident : est passé à travers une porte vitrée lors de l'opération "portes ouvertes" de l'entreprise.
En avançant, j'ai cassé le feu arrière de la voiture qui me précédait. J'ai donc reculé, mais en reculant j'ai cabossé le pare-chocs de la voiture qui me suivait.C'est alors que je suis sorti pour remplir les constats, mais en sortant j'ai renversé un cycliste avec ma portière. C'est tout ce que j'ai à déclarer aujourd'hui. :malin2:
J'ai heurté une voiture en stationnement et je me suis bien gardé de me faire connaître auprès de l'automobiliste. J'espère que vous serez content et que vous pouvez faire un petit geste en m'accordant un bonus supplémentaire
Je vous demanderais de ne tenir aucun compte du constat amiable. Vous comprendrez en effet que je fus brusquement pris d'une émotion subite : arrière défoncé, présence de la police, choc psychologique, tout concourrait à ce que je mette des croix au hasard.
Vous savez que mon taxi est transformé en corbillard et que je n'y transporte que des morts. Mes clients ne risquant plus rien, est-il bien nécessaire que vous me fassiez payer une prime pour le cas ou ils seraient victimes d'un accident?
Depuis ma chute, je ne peux plus me déplacer. Veuillez m'indiquer la marche à suivre.
Vous me dites que d'après le Code Civil, je suis responsable des bêtises de mes enfants. Si c'est vrai, les personnes qui ont écrit cela ne doivent pas avoir, comme moi, neuf enfants à surveiller.
J'ai heurté brutalement l'arrière de la voiture qui me précédait. Mais grâce à mon casque, ma blessure au poignet est sans gravité?
Chacun des conducteurs conduisait sa voiture.
Vous m'écrivez que le vol n'existe pas entre époux. On voit que vous ne connaissez pas ma femme.
Le camion s'est sauvé précipitamment sans montrer ses papiers.
Je suis étonné que vous me refusiez de payer cet accident sous prétexte que je ne portais pas mes lunettes comme indiqué sur mon permis. Je vous assure que ce n'est pas ma faute si j'ai renversé ce cycliste : je ne l'avais pas vu.
Je vous témoigne mon grand mécontentement vous mettez tellement de temps à me rembourser mes accidents que c'est toujours avec celui d'avant que je paye les dégâts de celui d'après, alors n'est-ce pas que ce n'est pas sérieux de votre part.
Le cycliste zigzaguait sur la route, tantôt à gauche, tantôt à droite, avant que je puisse le télescoper.
Ne pouvant plus travailler à la suite de mon accident, j'ai du vendre mon commerce et devenir fonctionnaire.
En repoussant un chien tenu en laisse par son maître, je me suis fait mordre par ce dernier.
Puisque vous me demandez un témoignage précis, je vous dirai qu'a mon avis c'est le monsieur qui a tort, puisque la dame a raison.
J'ai tapé un trottoir en glissant sur une plaque de verglas et j'ai cassée ma gente et mon bras gauche.
Vous me dites que Mlle X réclame des dommages-intérêts sous prétexte qu'elle a été légèrement défigurée après l'accident. Sans être mauvaise langue, il faut bien avouer que même avant l'accident, cette malheureuse n'avait jamais éveillé la jalousie de ses concitoyennes.
Malgré ma fracture au poignet, j'ai pris mon courage a deux mains.
Je ne suis pas responsable du refus de priorité puisque je n'avais pas vu venir la voiture, vous pensez bien que si je l'avais vue je me serais arrêté.
Depuis son accident, ma femme est encore pire qu'avant. J'espère que vous en tiendrez compte.
Ils m'ont trouvé 2,10 grammes d'alcool dans le sang et ils vont me condamner. Sur 6 à 8 litres de sang qu'on a dans le corps vous avouerez que c'est pas tellement (personnellement j'aurais cru que j'en aurais eu plus).
A votre avis, est-il préférable d'acheter un chien méchant qui risquera de mordre les gens mais protégera votre maison contre les voleurs ou de garder mon vieux toutou. Je vous pose la question parce que de toutes façons c'est vous qui paierez les pots cassés, soit en indemnisant les blessés, soit en remboursant les objets volés.
Je ne suis pas du tout d'accord sur le montant que vous m'allouez pour les bijoux. Ca ne représente même pas la somme des deux choses de mon fils, dont je vous ai envoyé les photos.
Je vous ai fait remarquer que ce croisement est très dangereux vu qu'il y a deux routes qui se coupent juste à cette place là.
Je n'avais pas vu la voiture arriver et quand je l'ai vue je n'ai plus rien vu.
Pour les blessures de ma femme je vous envoie ci-joint le certificat que j'ai pu arriver à avoir par mon docteur. Je les mets donc sous réserves en attendant que vous m'écriviez combien elles peuvent me rapporter environ.
Je débouchais d'un chemin à une vitesse approximative de 100 et voilà que je heurte un arbre. L'arbre m'a injecté de ma voiture alors que la voiture a continué toute seule avec la jeune fille que j'étais sorti avec.
Et une des meilleures lettres jamais reçues par une compagnie d'assurances
Je rentrai dans ma cariol sur la route de Gray. j'avais bu a cause de la chaleur deux blanc cassice a l'onseice.
J'ai donc eu besoin de satisfaire une grande envie d'urine.
Jé arraité la voiture sur le baur de la route prais d'un ta de pierres et de materiau rapport aux travois eczécuté mintenant pour l'élaictricitai.
Jé commencé a uriné et en fesan ce besoin, jé en maniaire d'amuzement dirigai mon jai en zigue saque a l'entours.
Alors mon jai a rencontrai un bou de fille électrique qui etait par terre au lieu d'etre accroché au poto.
Une grosse étincelle a soté sur moi et un grand coup m'a raipondu dans le fondement et des les partis que lotre medecin y appelle tete y cul.
Je me suis évanouillé et quand je sui revenu dans la connaissance,
jé vu que ma chemise et mon pantalon été tout brulé a la braguette. Je sui assuré par votre maison et je voufrai etre un demnisé.
Jé droit a ce Con m'a dit et je vous demande votre opinion.
Mais dommage son de 93 francs o plus juste. Depuis le sinistre, jé les burnes toutes noires et ratatinés. ma verge est tuméfié, gonfle et violace. Le medecin a dit devant du monde qui peut répété : avec les faits nomaines électrics, on ne sait jamais.
Voici les dernières perles de nos assureurs
Le centre de documentation et d'information de l'assurance publie les bévues les plus amusantes trouvées dans le courrier des assurances.L'orthographe, le vocabulaire et la grammaire sont d'origine...
C'est parti
Je vous serais obligé de m'adresser le courrier concernant mon accident a un de mes amis M .... car, pour la passagère blessée, ma femme n'est pas au courant, et il vaut mieux pas. Je compte sur votre compréhension pour ne pas déshonorer un honnête père de famille?
Il faut dire à ma décharge que le poteau que j'ai buté était caché par l'invisibilité du brouillard.
Ma voiture gênant la circulation, un portugais m'a aidé à la mettre sur le trottoir, ainsi que ma femme qui rentrait de son travail.
Je désire que ma voiture soit utilisable accidentellement par mes enfants majeurs considérés comme novices.
En qualité du plus mauvais client de votre agence (neuf accrochages en 1 an), je vous demande d'avoir le plaisir de résilier mon assurance auto avant la date d'échéance.
J'ai été victime d'un accident du travail alors que je faisais la sieste sous un pommier. J'ai été blessé par une dent de râteau qui m'est tombée sur le pied. La dent était accompagnée du râteau.
L'accident est survenu alors que je changeais de fille.
J'ai bien reçu la fiche de mon épouse, je ne manquerai pas de vous renvoyer cette dernière dûment remplie par mes soins.
Je suivais la voiture qui me précédait qui après que je l'ai dépassé m'a suivie, c'est alors qu'elle m'a choquée en plein derrière et m'a forcé par la choquer moi aussi le derrière de celle qui était devant.
Il me semble que ma petite affaire va bouger au printemps, ce dont je serais heureux.
Circonstances de l'accident : est passé à travers une porte vitrée lors de l'opération "portes ouvertes" de l'entreprise.
En avançant, j'ai cassé le feu arrière de la voiture qui me précédait. J'ai donc reculé, mais en reculant j'ai cabossé le pare-chocs de la voiture qui me suivait.C'est alors que je suis sorti pour remplir les constats, mais en sortant j'ai renversé un cycliste avec ma portière. C'est tout ce que j'ai à déclarer aujourd'hui. :malin2:
J'ai heurté une voiture en stationnement et je me suis bien gardé de me faire connaître auprès de l'automobiliste. J'espère que vous serez content et que vous pouvez faire un petit geste en m'accordant un bonus supplémentaire
Je vous demanderais de ne tenir aucun compte du constat amiable. Vous comprendrez en effet que je fus brusquement pris d'une émotion subite : arrière défoncé, présence de la police, choc psychologique, tout concourrait à ce que je mette des croix au hasard.
Vous savez que mon taxi est transformé en corbillard et que je n'y transporte que des morts. Mes clients ne risquant plus rien, est-il bien nécessaire que vous me fassiez payer une prime pour le cas ou ils seraient victimes d'un accident?
Depuis ma chute, je ne peux plus me déplacer. Veuillez m'indiquer la marche à suivre.
Vous me dites que d'après le Code Civil, je suis responsable des bêtises de mes enfants. Si c'est vrai, les personnes qui ont écrit cela ne doivent pas avoir, comme moi, neuf enfants à surveiller.
J'ai heurté brutalement l'arrière de la voiture qui me précédait. Mais grâce à mon casque, ma blessure au poignet est sans gravité?
Chacun des conducteurs conduisait sa voiture.
Vous m'écrivez que le vol n'existe pas entre époux. On voit que vous ne connaissez pas ma femme.
Le camion s'est sauvé précipitamment sans montrer ses papiers.
Je suis étonné que vous me refusiez de payer cet accident sous prétexte que je ne portais pas mes lunettes comme indiqué sur mon permis. Je vous assure que ce n'est pas ma faute si j'ai renversé ce cycliste : je ne l'avais pas vu.
Je vous témoigne mon grand mécontentement vous mettez tellement de temps à me rembourser mes accidents que c'est toujours avec celui d'avant que je paye les dégâts de celui d'après, alors n'est-ce pas que ce n'est pas sérieux de votre part.
Le cycliste zigzaguait sur la route, tantôt à gauche, tantôt à droite, avant que je puisse le télescoper.
Ne pouvant plus travailler à la suite de mon accident, j'ai du vendre mon commerce et devenir fonctionnaire.
En repoussant un chien tenu en laisse par son maître, je me suis fait mordre par ce dernier.
Puisque vous me demandez un témoignage précis, je vous dirai qu'a mon avis c'est le monsieur qui a tort, puisque la dame a raison.
J'ai tapé un trottoir en glissant sur une plaque de verglas et j'ai cassée ma gente et mon bras gauche.
Vous me dites que Mlle X réclame des dommages-intérêts sous prétexte qu'elle a été légèrement défigurée après l'accident. Sans être mauvaise langue, il faut bien avouer que même avant l'accident, cette malheureuse n'avait jamais éveillé la jalousie de ses concitoyennes.
Malgré ma fracture au poignet, j'ai pris mon courage a deux mains.
Je ne suis pas responsable du refus de priorité puisque je n'avais pas vu venir la voiture, vous pensez bien que si je l'avais vue je me serais arrêté.
Depuis son accident, ma femme est encore pire qu'avant. J'espère que vous en tiendrez compte.
Ils m'ont trouvé 2,10 grammes d'alcool dans le sang et ils vont me condamner. Sur 6 à 8 litres de sang qu'on a dans le corps vous avouerez que c'est pas tellement (personnellement j'aurais cru que j'en aurais eu plus).
A votre avis, est-il préférable d'acheter un chien méchant qui risquera de mordre les gens mais protégera votre maison contre les voleurs ou de garder mon vieux toutou. Je vous pose la question parce que de toutes façons c'est vous qui paierez les pots cassés, soit en indemnisant les blessés, soit en remboursant les objets volés.
Je ne suis pas du tout d'accord sur le montant que vous m'allouez pour les bijoux. Ca ne représente même pas la somme des deux choses de mon fils, dont je vous ai envoyé les photos.
Je vous ai fait remarquer que ce croisement est très dangereux vu qu'il y a deux routes qui se coupent juste à cette place là.
Je n'avais pas vu la voiture arriver et quand je l'ai vue je n'ai plus rien vu.
Pour les blessures de ma femme je vous envoie ci-joint le certificat que j'ai pu arriver à avoir par mon docteur. Je les mets donc sous réserves en attendant que vous m'écriviez combien elles peuvent me rapporter environ.
Je débouchais d'un chemin à une vitesse approximative de 100 et voilà que je heurte un arbre. L'arbre m'a injecté de ma voiture alors que la voiture a continué toute seule avec la jeune fille que j'étais sorti avec.
Et une des meilleures lettres jamais reçues par une compagnie d'assurances
Je rentrai dans ma cariol sur la route de Gray. j'avais bu a cause de la chaleur deux blanc cassice a l'onseice.
J'ai donc eu besoin de satisfaire une grande envie d'urine.
Jé arraité la voiture sur le baur de la route prais d'un ta de pierres et de materiau rapport aux travois eczécuté mintenant pour l'élaictricitai.
Jé commencé a uriné et en fesan ce besoin, jé en maniaire d'amuzement dirigai mon jai en zigue saque a l'entours.
Alors mon jai a rencontrai un bou de fille électrique qui etait par terre au lieu d'etre accroché au poto.
Une grosse étincelle a soté sur moi et un grand coup m'a raipondu dans le fondement et des les partis que lotre medecin y appelle tete y cul.
Je me suis évanouillé et quand je sui revenu dans la connaissance,
jé vu que ma chemise et mon pantalon été tout brulé a la braguette. Je sui assuré par votre maison et je voufrai etre un demnisé.
Jé droit a ce Con m'a dit et je vous demande votre opinion.
Mais dommage son de 93 francs o plus juste. Depuis le sinistre, jé les burnes toutes noires et ratatinés. ma verge est tuméfié, gonfle et violace. Le medecin a dit devant du monde qui peut répété : avec les faits nomaines électrics, on ne sait jamais.
L’ennemi est con, il croit que c’est nous l’ennemi alors que c’est lui
[url=http://www.emoticonland.net]
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Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
dans le meme genre....
Bêtisier des gendarmes
• Ivre au milieu de la rue principale du village, l'homme nous a traité de "sales flics", ignorant que nous étions des gendarmes.
• La femme essayait de cacher son identité derrière ses larmes...
• Sous couvert d'anonymat, tous ses crimes étaient signés.
• La pauvre femme fut hospitalisée après avoir reçu les injures nécessaires.
• Les deux trous de balle étaient parfaitement groupés ensemble.
• La Gendarmerie n'étant pas encore un hôpital psychiatrique, nous avons dû renvoyer le malade chez lui.
• Son crâne défoncé parlait pour elle...
• Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile d'y obéir.
• N'ayant pas pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement.
• Le manouche habitait une caravane tirée par sa femme...
• Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5 cadavres des 2 disparus.
• Il était cloué sur son lit d'hôpital par deux coups de couteau au bras.
• Soudain, la voiture recula pour mieux avancer...
• L'infraction fut constatée par la brigade deux jours avant qu'elle ait lieu.
• Le marteau utilisé était en bois sauf qu'il était en fer.
• Nous avons été obligés de constater le décès avant que le mort nous décrive son agresseur.
• Sa tête étant fêlée, son sang coulait sur lui en vagues gigantesques...
• Le mur avançait à grand pas vers le véhicule...
• La disparition de l'enfant a été signalée par ses parents dès son retour.
• Aveugle de naissance, la femme n'avait rien vu venir...
• Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dû entrer...
• La chasse étant fermée à cette époque, il l'ouvrit lui-même tout seul.
• L'homme était assez lucide pour constater qu'il n'avait plus toute sa lucidité.
• L'individu a réussi à sortir de ses menottes par la porte de derrière.
• Avec un taux d'alcool de 3,2g, le sang de l'homme était comme une bouteille.
• Bizarrement, la collision entre les deux véhicules avait bien eu lieu au même endroit, ce qui attira notre attention.
• Le conflit entre la police et la gendarmerie étant ce qu'il est, l'enquête ne put aboutir.
• Le motif du vol était le meurtre...
• la carrosserie était toute maculée de superbes rayures qui la rendaient pas belle à voir.
• Jusqu'au bout, l'homme répondit aimablement à toutes les questions par un grand silence.
• Le vélo déambulait seul avec une alcoolémie non autorisée.
• Le forcené épaula son fusil de chasse et tua les pneus de la voiture à coups de chevrotine.
• Le grave préjudice subi par le conducteur avait été estimé à : 0 Franc.
• C'est en urinant que l'homme se blessa aux yeux.
• Le fusil à pompe était muni de quatre pneus lisses...
• La gendarmerie étant fermée le dimanche, le meurtrier dut attendre le lundi pour venir tout avouer.
• Elle avait réussi à prouver qu'elle n'avait pas pu tuer son amant en se tuant juste avant lui.
• N'ayant pas été reconnu coupable de cette agression, le suspect a été gardé en détention jusqu'à ce qu'il avoue son agression.
• Comme d'habitude, le chien avait sauté sa maîtresse avant de divaguer.
• Le susnommé refusa catégoriquement de nous dire son nom.
• Agé de 92 ans, l'homme avait encore l'air d'un jeune adolescent...
• Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.
• Force est de constater que le concubin de la femme était bien son mari...
• Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands signes pour attirer l'attention des autres automobilistes.
• Il habitait en chair et en os à son domicile.
• Sans se démonter, l'homme démonta l'arme devant nous.
• Il s'était servi du cric de sa voiture pour lui donner gentiment plusieurs coups à la tête.
• Elle prétendait être encore vierge mais son casier judiciaire disait le contraire puisqu'elle prostituait.
• La S.D.F. fut incapable de nous donner une adresse valable.
• La neige s'était mise à tomber pour essayer de cacher l'objet du délit.
• Bien que nous étions 5 à ceinturer l'homme, celui-ci réussit à s'enfuir sans difficulté.
• Sans aucune preuve matérielle valable, nous avons eu le regret de devoir le relâcher vers de nouveaux délits.
• Le complice des deux voleurs était sans doute le troisième...
• Il avait le tort de n'être pas de nationalité française...
• S'il avait encore eu sa tête, il n'aurait eu aucun mal à décliner son identité.
• Il quitta la gendarmerie avec l'air innocent de quelqu'un qui n'a pas la conscience tranquille.
• Les chaussures de l'accidenté étaient aussi bien habillées que lui.
• Personne ne connaît l'identité de la victime qui vivait depuis près de dix ans dans le village et se nomme Jean Pierre Pelprat.
• Le logement de fonction du gendarme était trop exigu pour être habité...
• Malgré ses 4 frères et soeurs, le jeune homme était fils unique.
• N'écoutant que son courage, la brigade fut obligée de battre en retraite.
• L'homme s'était donc noyé par pendaison...
• La pièce d'identité présentée par l'homme prouvait sans aucun doute qu'il était coupable.
• Le corps fut retrouvé dans le congélateur encore chaud.
• Toutes les entrées de la femme étant verrouillées, les deux cambrioleurs la pénétrèrent par le toit.
• Contrairement à ce qu'il prétend, nous n'avons jamais abusé de violences sur l'homme, puisque quelques claques n'ont jamais été des violences chez un délinquant...
• Trop sourd pour nous entendre, l'homme avait fini par devenir aveugle.
• L'accident qui avait provoqué sa mort était bien un accident mortel.
• C'est en voulant sortir ses papiers que l'homme se rendit compte qu'il était bien mort.
• Ouvrant le coffre du véhicule, nous y avons trouvé uniquement du vide...
• L'homme s'était terré comme un vulgaire lapin...
• Le militaire appréhendé était en fait curé d'une paroisse de la région.
• Ne s'étant pas arrêtée au stop, la voiture accéléra brusquement au moment du freinage.
• Les trois balles étaient groupées dans l'oeil gauche qui semblait ne plus rien voir...
• Dès l'ouverture du magasin, les portes avaient été solidement verrouillées.
• Le récidiviste n'avait jamais rien eu à se reprocher...
• S'il n'avait pas obtempéré immédiatement, l'homme n'aurait sans doute pas obtempéré.
• Nous avons enregistré sa plainte en sachant déjà que nous ne ferions absolument rien.
• Le camion que nous avons inspecté transportait 30 porcs munis de leurs femmes.
• Le cambrioleur portait sur son visage sournois les traces de sa culpabilité.
• De deux choses l'une, c'était soit notre version, soit la sienne, mais c'était la nôtre bien sûr.
• Le coupable proclamait son innocence que comme tous les menteurs du monde.
• L'homme n'avait rien voulu nous avouer, si ce n'est deux ou trois petits crimes sans importance.
• Le mari semblait plus honnête de 50% que sa femme...
• Raide mort, nous l'avons quand même eu vivant...
Bêtisier des gendarmes
• Ivre au milieu de la rue principale du village, l'homme nous a traité de "sales flics", ignorant que nous étions des gendarmes.
• La femme essayait de cacher son identité derrière ses larmes...
• Sous couvert d'anonymat, tous ses crimes étaient signés.
• La pauvre femme fut hospitalisée après avoir reçu les injures nécessaires.
• Les deux trous de balle étaient parfaitement groupés ensemble.
• La Gendarmerie n'étant pas encore un hôpital psychiatrique, nous avons dû renvoyer le malade chez lui.
• Son crâne défoncé parlait pour elle...
• Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile d'y obéir.
• N'ayant pas pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement.
• Le manouche habitait une caravane tirée par sa femme...
• Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5 cadavres des 2 disparus.
• Il était cloué sur son lit d'hôpital par deux coups de couteau au bras.
• Soudain, la voiture recula pour mieux avancer...
• L'infraction fut constatée par la brigade deux jours avant qu'elle ait lieu.
• Le marteau utilisé était en bois sauf qu'il était en fer.
• Nous avons été obligés de constater le décès avant que le mort nous décrive son agresseur.
• Sa tête étant fêlée, son sang coulait sur lui en vagues gigantesques...
• Le mur avançait à grand pas vers le véhicule...
• La disparition de l'enfant a été signalée par ses parents dès son retour.
• Aveugle de naissance, la femme n'avait rien vu venir...
• Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dû entrer...
• La chasse étant fermée à cette époque, il l'ouvrit lui-même tout seul.
• L'homme était assez lucide pour constater qu'il n'avait plus toute sa lucidité.
• L'individu a réussi à sortir de ses menottes par la porte de derrière.
• Avec un taux d'alcool de 3,2g, le sang de l'homme était comme une bouteille.
• Bizarrement, la collision entre les deux véhicules avait bien eu lieu au même endroit, ce qui attira notre attention.
• Le conflit entre la police et la gendarmerie étant ce qu'il est, l'enquête ne put aboutir.
• Le motif du vol était le meurtre...
• la carrosserie était toute maculée de superbes rayures qui la rendaient pas belle à voir.
• Jusqu'au bout, l'homme répondit aimablement à toutes les questions par un grand silence.
• Le vélo déambulait seul avec une alcoolémie non autorisée.
• Le forcené épaula son fusil de chasse et tua les pneus de la voiture à coups de chevrotine.
• Le grave préjudice subi par le conducteur avait été estimé à : 0 Franc.
• C'est en urinant que l'homme se blessa aux yeux.
• Le fusil à pompe était muni de quatre pneus lisses...
• La gendarmerie étant fermée le dimanche, le meurtrier dut attendre le lundi pour venir tout avouer.
• Elle avait réussi à prouver qu'elle n'avait pas pu tuer son amant en se tuant juste avant lui.
• N'ayant pas été reconnu coupable de cette agression, le suspect a été gardé en détention jusqu'à ce qu'il avoue son agression.
• Comme d'habitude, le chien avait sauté sa maîtresse avant de divaguer.
• Le susnommé refusa catégoriquement de nous dire son nom.
• Agé de 92 ans, l'homme avait encore l'air d'un jeune adolescent...
• Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.
• Force est de constater que le concubin de la femme était bien son mari...
• Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands signes pour attirer l'attention des autres automobilistes.
• Il habitait en chair et en os à son domicile.
• Sans se démonter, l'homme démonta l'arme devant nous.
• Il s'était servi du cric de sa voiture pour lui donner gentiment plusieurs coups à la tête.
• Elle prétendait être encore vierge mais son casier judiciaire disait le contraire puisqu'elle prostituait.
• La S.D.F. fut incapable de nous donner une adresse valable.
• La neige s'était mise à tomber pour essayer de cacher l'objet du délit.
• Bien que nous étions 5 à ceinturer l'homme, celui-ci réussit à s'enfuir sans difficulté.
• Sans aucune preuve matérielle valable, nous avons eu le regret de devoir le relâcher vers de nouveaux délits.
• Le complice des deux voleurs était sans doute le troisième...
• Il avait le tort de n'être pas de nationalité française...
• S'il avait encore eu sa tête, il n'aurait eu aucun mal à décliner son identité.
• Il quitta la gendarmerie avec l'air innocent de quelqu'un qui n'a pas la conscience tranquille.
• Les chaussures de l'accidenté étaient aussi bien habillées que lui.
• Personne ne connaît l'identité de la victime qui vivait depuis près de dix ans dans le village et se nomme Jean Pierre Pelprat.
• Le logement de fonction du gendarme était trop exigu pour être habité...
• Malgré ses 4 frères et soeurs, le jeune homme était fils unique.
• N'écoutant que son courage, la brigade fut obligée de battre en retraite.
• L'homme s'était donc noyé par pendaison...
• La pièce d'identité présentée par l'homme prouvait sans aucun doute qu'il était coupable.
• Le corps fut retrouvé dans le congélateur encore chaud.
• Toutes les entrées de la femme étant verrouillées, les deux cambrioleurs la pénétrèrent par le toit.
• Contrairement à ce qu'il prétend, nous n'avons jamais abusé de violences sur l'homme, puisque quelques claques n'ont jamais été des violences chez un délinquant...
• Trop sourd pour nous entendre, l'homme avait fini par devenir aveugle.
• L'accident qui avait provoqué sa mort était bien un accident mortel.
• C'est en voulant sortir ses papiers que l'homme se rendit compte qu'il était bien mort.
• Ouvrant le coffre du véhicule, nous y avons trouvé uniquement du vide...
• L'homme s'était terré comme un vulgaire lapin...
• Le militaire appréhendé était en fait curé d'une paroisse de la région.
• Ne s'étant pas arrêtée au stop, la voiture accéléra brusquement au moment du freinage.
• Les trois balles étaient groupées dans l'oeil gauche qui semblait ne plus rien voir...
• Dès l'ouverture du magasin, les portes avaient été solidement verrouillées.
• Le récidiviste n'avait jamais rien eu à se reprocher...
• S'il n'avait pas obtempéré immédiatement, l'homme n'aurait sans doute pas obtempéré.
• Nous avons enregistré sa plainte en sachant déjà que nous ne ferions absolument rien.
• Le camion que nous avons inspecté transportait 30 porcs munis de leurs femmes.
• Le cambrioleur portait sur son visage sournois les traces de sa culpabilité.
• De deux choses l'une, c'était soit notre version, soit la sienne, mais c'était la nôtre bien sûr.
• Le coupable proclamait son innocence que comme tous les menteurs du monde.
• L'homme n'avait rien voulu nous avouer, si ce n'est deux ou trois petits crimes sans importance.
• Le mari semblait plus honnête de 50% que sa femme...
• Raide mort, nous l'avons quand même eu vivant...
L’ennemi est con, il croit que c’est nous l’ennemi alors que c’est lui
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Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
Moment de solitude...
Un blonde raconte à sa copine :
J'étais au Bar, hier, quand j'ai réalisé qu'il fallait désespérément que je pète. La musique étant très forte, j'ai synchronisé mes pets aux sons de la musique.
Après deux chansons je commençais à me sentir mieux. Tout en finissant mon café, j'ai remarqué que tout le monde me regardait.
Zut, j'étais en train d'écouter mon MP3...
Un blonde raconte à sa copine :
J'étais au Bar, hier, quand j'ai réalisé qu'il fallait désespérément que je pète. La musique étant très forte, j'ai synchronisé mes pets aux sons de la musique.
Après deux chansons je commençais à me sentir mieux. Tout en finissant mon café, j'ai remarqué que tout le monde me regardait.
Zut, j'étais en train d'écouter mon MP3...
Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
C'est en englais mais je la trouve genial
Traduction
Beau chaton male de 6 mois, robe orange et caramel, joueur en calin, ideal pour la famille <- OU -> Super mari de 32 ans, drole, bonne situation, n'aime pas les chats, dit : "c'est moi ou le chat!" ... appelez jenifer au 06xxxxx
Traduction
Beau chaton male de 6 mois, robe orange et caramel, joueur en calin, ideal pour la famille <- OU -> Super mari de 32 ans, drole, bonne situation, n'aime pas les chats, dit : "c'est moi ou le chat!" ... appelez jenifer au 06xxxxx
Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
A 2 ans, le succès est de ne pas faire dans sa culotte
A 3 ans, le succès est d'avoir des dents
A 12 ans, le succès est d'avoir des amis
A 18 ans, le succès est d'avoir son permis de conduire
A 20 ans, le succès est de bien faire l'amour
A 35 ans, le succès est d'avoir de l'argent
A 50 ans, le succès est d'avoir de l'argent
A 60 ans, le succès est de bien faire l'amour
A 70 ans, le succès est d'avoir un permis de conduire
A 75 ans, le succès est d'avoir des amis
A 80 ans, le succès est d'avoir des dents
A 85 ans, le succès est de ne pas faire dans sa culotte
A 3 ans, le succès est d'avoir des dents
A 12 ans, le succès est d'avoir des amis
A 18 ans, le succès est d'avoir son permis de conduire
A 20 ans, le succès est de bien faire l'amour
A 35 ans, le succès est d'avoir de l'argent
A 50 ans, le succès est d'avoir de l'argent
A 60 ans, le succès est de bien faire l'amour
A 70 ans, le succès est d'avoir un permis de conduire
A 75 ans, le succès est d'avoir des amis
A 80 ans, le succès est d'avoir des dents
A 85 ans, le succès est de ne pas faire dans sa culotte
Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
à priori suis dans les normes !!!!!! j'attends la suite dans 10 ans
Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
J'en conclus que mon succès, c'est le pognon. Super.
- manu60kenzo
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Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
je laisse le fauteuil et garde l* pouf' pour me relaxer!!
L’ennemi est con, il croit que c’est nous l’ennemi alors que c’est lui
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Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
manu60kenzo a écrit : je laisse le fauteuil et garde l* pouf' pour me relaxer!!
M'étonne pas tiens!
Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
Une femme entre dans une pharmacie :
"Bonjour monsieur, je voudrais de l'arsenic."
"Je ne vends pas d'arsenic madame. Puis-je vous demander pour quoi faire?"
"Pour tuer mon mari."
Le pharmacien, horrifié, dit : "Mais madame, je ne peux pas vous vendre un produit pour commettre un meurtre!!!!!"
La femme ouvre son sac, et montre une photo de son mari au lit avec la femme... du pharmacien.
"Ah bon. Si vous avez une ordonnance, ça change tout!"
"Bonjour monsieur, je voudrais de l'arsenic."
"Je ne vends pas d'arsenic madame. Puis-je vous demander pour quoi faire?"
"Pour tuer mon mari."
Le pharmacien, horrifié, dit : "Mais madame, je ne peux pas vous vendre un produit pour commettre un meurtre!!!!!"
La femme ouvre son sac, et montre une photo de son mari au lit avec la femme... du pharmacien.
"Ah bon. Si vous avez une ordonnance, ça change tout!"
- vichenzo
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Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
C'est un zero qui parle a un huit:
"tien! ta mis une ceinture!"
"tien! ta mis une ceinture!"
- vichenzo
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Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
Deux hommes sont tombés dans une fosse septique...
ils en ont jusqu'en dessous de la lèvre inférieure.
L'un d'eux dit:
'- J'pense qu'on va mourir!'
'- Comment ça?' déclare l'autre.
'- J'ai envie d'chier!'...
ils en ont jusqu'en dessous de la lèvre inférieure.
L'un d'eux dit:
'- J'pense qu'on va mourir!'
'- Comment ça?' déclare l'autre.
'- J'ai envie d'chier!'...
Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
Une petite fille rentre de l'école : "Maman, les garçons m'ont demandé de faire la roue pendant la récré."
"Et tu l'as fait?"
"Ben oui".
"Il fallait leur dire NON. Ils te demandent ça pour voir ta culotte!"
"Je le sais ça. Mais je les ai bien eus. Je l'ai cachée dans mon cartable."
"Et tu l'as fait?"
"Ben oui".
"Il fallait leur dire NON. Ils te demandent ça pour voir ta culotte!"
"Je le sais ça. Mais je les ai bien eus. Je l'ai cachée dans mon cartable."
Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
Oh, bein ça promet!
Une future blonde?
Une future blonde?
Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
Il n'y a pas de temporalité dans la blonditudesylvie a écrit :Oh, bein ça promet!
Une future blonde?
Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
Un mec rentre chez lui et trouve sa femme en train de se regarder dans la glace.
"Tu sais chéri, je suis allé voir le médecin aujourd'hui. Il m'a dit que j'avais une poitrine de 25 ans."
"Et qu'est-ce qu'il a dit de ton trou du cul de 45 ans?"
"Rien. On n'a pas parlé de toi."
"Tu sais chéri, je suis allé voir le médecin aujourd'hui. Il m'a dit que j'avais une poitrine de 25 ans."
"Et qu'est-ce qu'il a dit de ton trou du cul de 45 ans?"
"Rien. On n'a pas parlé de toi."
Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
J'ai trouvé ça sur le net par hasard. C'est pas vraiment une blague, mais c'est tellement bon que je le mets quand-même.
Rugby à Kaboul - Episode 3 le match et Fin
Nous découvrîmes l’équipe d’en face au moment du coup d’envoi. Maillot vert, short vert, chaussettes vertes, avec une espèce de béret Basque pas Basque sur la tête qui leur donnait tous un air de chef de clan peu fréquentable. Que des petits gabarits, dont leurs avants, mais on nous avait prévenu qu’ils étaient aussi tenaces qu’une poignée de cintres emmêlés au fin fond d’une penderie.
Le match fut très correct. Ils nous ont surpris par leur vivacité, ce qui n’est pas vraiment notre fort depuis quelques saisons.
Jamais là où on les attend. On s’époumonait dans les rucks pour s’apercevoir que le ballon était aux antipodes de là où l’on se battait. Ils nous ont dominés sur les touches avec des combinaisons bizarres qui consiste au lanceur à lancer le ballon largement au delà du dernier sauteur, pour arriver sur un gars au milieu du terrain lancé plein gaz avec soutien de chaque coté des flancs. Leurs combinaisons en touche et en mêlées, les - Bush, Joke Democraty, Spécial Oussama et d’autres dont je n’ai pas souvenir, ou alors trop douloureuses, fonctionnaient bien trop souvent. A un moment de la partie, sur une ONU Smile, je crois, on eut l’impression de faire du stop sur le terrain, on ne voyait plus le ballon où d’une façon si furtive que cela en devenait presque ésotérique.
Ils jouent comme ils combattent. Cavalerie légère, très affûtée et redoutablement efficace. Ils chargent en petit comité, font juste ce qu’il faut de dégâts irréversibles et repartent aussi sec qu’ils sont venus. Après un match pareil, on comprend pourquoi d’Alexandre le Grand, jusqu’aux USA de maintenant en passant par les Soviets des années 80, toutes les grosses armadas se sont cassées les dents, l’échine et les bijoux de famille sur ce peuple de guerriers. Faut pas les provoquer, ces gars là. Ou alors dans nos plaines de la Beauce.
A la mi-temps, les mains sur les genoux, le palpitant à 110 tours minutes et le maillot trempé de sueur, Robert, 10 de coeur sur le terrain et empreinte de coude sur l’arcade, nous remet les aiguilles sur le même créneau horaire.
- Les gars, faut rien lâcher...j’ai pensé à un truc, moi le croyant catho de cette équipe...
Quand Robert commence comme cela il est aussi infréquentable qu’un Témoin de Jéhovah devant une porte d’entrée, doigt sur la sonnette.
- Eux...(halètements)...d’en face, avec leur Alain et son Trophée, ils sont prêts à...
- Allah et son Prophète, rectifie François, notre Wikipedia portable et Larousse version illimitée.
- T’es sur ?
- Oui et deux milliards de musulmans aussi plus la totalité des autres.
- Bon, ce n’est pas le problème, alors, ceux d’en face, avec leur leivmotiv d’Allah et son Trophée...
- Allah et son Prophète, re-rectifie François, habitué à l’inculture de Robert, excepté sa connaissance de l’histoire du club de Bourgoin-Jallieu et la totalité de ses statistiques rugbystiques sur trois décennies.
- Mais on s’en fout déclame Charles, on a que dix minutes pour se ressaisir, on ne va pas commencer un cours sur le Coran. Où tu veux en venir Robert ?
- Dans la Bible il est écrit (crispation générale des joueurs autour) - Tu es poussière et tu retourneras poussière, Genèse 3.19. Je veux que tous ici, croyants ou non, s’approprient cette phrase et l’appliquent sur le terrain. Je ne veux pas du placage classique mais du découpage de boucherie de gros. Je ne veux pas de la percussion motivée mais du crash test de constructeur auto. Je ne veux pas que l’on résiste héroïquement mais vivre une insurrection millésime 1789. Mes amis, ceci est mon corps prêt au sacrifice pour le groupe et nous allons faire notre djihad dans leur en-but et gagner ce match, fini Robert, yeux vers le ciel et aura autour du crâne.
- Djihad ? Ca se dit chez les cathos ? Interpelle Nico, croyant lui aussi mais seulement lors d’une élection papale et quand l’élu du Vatican passe à Paris.
- Disons que dans notre Eglise, on prend se qui se fait de mieux. Croisade c’est ringard, limite un peu vieillot. Djihad c’est un terme marketing internationalement connu et les gens comprennent de suite.
- Ok reçu, c’est Charles, tête de mort vivant après cette mi-temps qui reprend le flambeau.
- On va faire une Djihad de Croisade. Elie, toi qui est juif, c’est vendeur pour toi ?
- Si vous me dîtes que leurs en-but c’est Jérusalem, j’adhère de suite, répond Elie.
- C’est Jérusalem, confirme très sérieusement Charles.
- Les gars, ressaisissez vous. Faut aborder cette deuxième phase de jeu comme de jeunes puceaux dans un bordel espagnol, de la motivation envahissante, généreux dans l’effort et baïonnette pointée vers le ciel. Les interventions et paraboles de Bruno finissent souvent dans des maisons closes, à défaut sur les trottoirs de la rue Saint Denis ou dans un bouge de Shanghai.
- Archi, crie Charles.
- Archi, c’est Archibald. Un type avec un parpaing à la place de la tête, une brosse à balai en guise de sourcil et une calandre de camion faisant office de thorax. Agent de sécurité dans la vie et sur le terrain aussi.
Archibald traverse le terrain comme un Hummer, sans éviter les obstacles, et rejoint le groupe exténué. C’est l’impact player des matchs, ou plutôt d’une mi-temps. Il a beau ressembler à un tracteur John Deere, il a une autonomie que de quarante minutes.
- Archi, tu vas rentrer pour cette deuxième mi-temps, annonce Charles avec un grand sourire.
Archibald, c’est une montagne sur deux jambes. La nature lui offrant un corps d’une puissance exceptionnelle, lui retira un peu de logiciel pour compenser. Il faut tout lui expliquer à Archi, avec patience et gentillesse pour éviter sa susceptibilité. Il est tellement zélé qu’il a interdit des clients, dans le cadre de son boulot d’agent de la sécurité d’une banque, de rentrer dans l’établissement.
Du coup, sa société contente malgré tout de lefficacité du bonhomme et incapable de lui signifier une mise à pied a préféré l’affecter gardien de nuit d’une usine de retraitement de déchets. Comme cela, il ne voit personne, excepté ceux qui veulent rentrer sans badge au milieu de la nuit et qui n’ont rien à faire sur le lieu, d’où la présence d’Archi.
- Archi, commence Charles avec précaution, eux en face, tout en vert, méchants. Nous, même maillot que toi, poulet rôti, gentils. Ca va ?
Un son rauque, rappelant un démarreur de camion, acquiesçât.
Avec Archi, il vaut mieux reprendre les bases de qui est avec qui dès le début, parcequ’après, on ne l’arrête plus et il n’écoute plus.
On a réussi à créer du bon rugby, à répondre à cette invasion de Talibans avec nos gros, sevrés de charcuterie et nos arrières, perfusés au thé vert. Quelques fois, de soldat sur le terrain on s’est retrouvé à faire du social entre nous. C’est à qui allait consoler l’autre et le motiver pour repartir au combat. Nous avions notre combinaison maison - L’EPAD, un mouvement de gros vers l’avant qui protège un petit tenant fermement le ballon, a souvent fonctionné et nous a amené jusqu’au Sacré Graal, La Défense, leur en-but.
Le match s’est terminé sur un coup de sifflet de l’arbitre qui a rappelé à Elie le son du Chofar le jour de Kippour, marquant la fin du jeun ou la sirène de l’usine de fin de journée pour Archi, une libération, une extase de repos, la paix des braves, le doigt de Dieu sur nos corps meurtris, le congé dominical mérité. Dès la fin de la joute, les joueurs afghans et leurs familles autour du terrain, crièrent un Allah Akbar tellement vrai, généreux et communicatif que l’on a répondu en coeur par un “santé ! Bonheur ! Sexe et bonne humeur !” partagé par tous les acteurs du terrain.
Le rugby rapprochent les peuples, nous en sommes la preuve, le témoignage meurtri et heureux sur ce terrain perdu de Kandahar.
L’après match organisé par l’équipe visiteuse se déroula dans un pub local, une espèce de taverne à l’ancienne avec un tavernier à l’ancienne aussi - moustachu, bourru, tablier blanc sale et voix qui porte au-delà du comptoir.
Au milieu de la nuit, Bernard essaya d’expliquer à Saber qu’il serait possible de faire de la bière à base de fleurs de pavot, à défaut de houblon dans la région, sans être en contradiction avec les interdits religieux. Mamoud démontra à François, entre deux litres de thé, qu’envoyer des joueurs de rugby aurait un impact plus pertinent qu’une centaine de Gendarmes français éparpillés à Kaboul à former des policiers afghans à gérer des ronds-points que seules, les chèvres et les moutons empruntent.
Jean-Marc en pleine rhétorique politico-rugbystique avec Siham, le neuf d’en face, amena le sujet sur l’idée d’un tournoi des 6 Nations dans la région, avec l’Afghanistan, le Pakistan, les Ouzbeks, les Tadjiks, les Iraniens et l’Inde. Pas l’Inde répliqua sèchement Siham. Jean-Marc, conciliant et compréhensif, responsable des litiges dans une société d’assurance la semaine, proposa spontanément les îles Malouines qui fût acceptées par Siham sans savoir où elles se trouvaient.
Après une nuit gargantuesque à déguster des koftas chalaw, une spécialité locale de boulette de viande hachée relevée au gingembre servi avec un riz basmati à se taper la tête contre les murs, des morghs matar, du poulet petits pois aux piment qui donne envie à un athée de croire en Dieu l’espace d’un repas, de kilos de aashak, des pâtes fraîches remplies de poireaux avec sauce viande de boeuf à faire regretter à un végétarien son régime de tofou et de finir d’éponger tout le thé vert d’Asie Centrale, nous nous quittâmes, la larme à l’oeil, main sur le coeur, l’autre sur le ventre qui réagissait à la dose pas raisonnable de piment avalé, des souvenirs pleins la tête et le billet d’avion dans les poches.
On a fait attention à ce qu’Adrien ne ramène pas un kilo de souvenir illicite quand aux autres, ils avaient écumé les épiceries pour ramener des goulab jamun, petites pâtisseries au sirop, saupoudrées de noix de coco râpée idéales pour le long voyage du retour et d’abruchums, gâteaux en filaments de miel et amandes effilées. A part l’artisanat culinaire local, il n’y a rien d’autres excepté toute une gamme de burqa mais seulement en trois couleurs : noire, bleue turquoise et grise. Mais une burqa en Europe, à part en faire des doubles rideaux, personne dans le groupe n’en a vu l’intérêt, à part Archi qui en a acheté cinq pour une descente de lit.
Les séparations sont un moment unique où l’on peut tout promettre sans se contredire tout en restant crédible. Un des seuls moments de notre existence où l’on peut mentir tout en disant la vérité. Ou le contraire.
Kandahar, ce fut un grand moment de rugby, mais content de rentrer. Enfin.
Fin
Rugby à Kaboul - Episode 3 le match et Fin
Nous découvrîmes l’équipe d’en face au moment du coup d’envoi. Maillot vert, short vert, chaussettes vertes, avec une espèce de béret Basque pas Basque sur la tête qui leur donnait tous un air de chef de clan peu fréquentable. Que des petits gabarits, dont leurs avants, mais on nous avait prévenu qu’ils étaient aussi tenaces qu’une poignée de cintres emmêlés au fin fond d’une penderie.
Le match fut très correct. Ils nous ont surpris par leur vivacité, ce qui n’est pas vraiment notre fort depuis quelques saisons.
Jamais là où on les attend. On s’époumonait dans les rucks pour s’apercevoir que le ballon était aux antipodes de là où l’on se battait. Ils nous ont dominés sur les touches avec des combinaisons bizarres qui consiste au lanceur à lancer le ballon largement au delà du dernier sauteur, pour arriver sur un gars au milieu du terrain lancé plein gaz avec soutien de chaque coté des flancs. Leurs combinaisons en touche et en mêlées, les - Bush, Joke Democraty, Spécial Oussama et d’autres dont je n’ai pas souvenir, ou alors trop douloureuses, fonctionnaient bien trop souvent. A un moment de la partie, sur une ONU Smile, je crois, on eut l’impression de faire du stop sur le terrain, on ne voyait plus le ballon où d’une façon si furtive que cela en devenait presque ésotérique.
Ils jouent comme ils combattent. Cavalerie légère, très affûtée et redoutablement efficace. Ils chargent en petit comité, font juste ce qu’il faut de dégâts irréversibles et repartent aussi sec qu’ils sont venus. Après un match pareil, on comprend pourquoi d’Alexandre le Grand, jusqu’aux USA de maintenant en passant par les Soviets des années 80, toutes les grosses armadas se sont cassées les dents, l’échine et les bijoux de famille sur ce peuple de guerriers. Faut pas les provoquer, ces gars là. Ou alors dans nos plaines de la Beauce.
A la mi-temps, les mains sur les genoux, le palpitant à 110 tours minutes et le maillot trempé de sueur, Robert, 10 de coeur sur le terrain et empreinte de coude sur l’arcade, nous remet les aiguilles sur le même créneau horaire.
- Les gars, faut rien lâcher...j’ai pensé à un truc, moi le croyant catho de cette équipe...
Quand Robert commence comme cela il est aussi infréquentable qu’un Témoin de Jéhovah devant une porte d’entrée, doigt sur la sonnette.
- Eux...(halètements)...d’en face, avec leur Alain et son Trophée, ils sont prêts à...
- Allah et son Prophète, rectifie François, notre Wikipedia portable et Larousse version illimitée.
- T’es sur ?
- Oui et deux milliards de musulmans aussi plus la totalité des autres.
- Bon, ce n’est pas le problème, alors, ceux d’en face, avec leur leivmotiv d’Allah et son Trophée...
- Allah et son Prophète, re-rectifie François, habitué à l’inculture de Robert, excepté sa connaissance de l’histoire du club de Bourgoin-Jallieu et la totalité de ses statistiques rugbystiques sur trois décennies.
- Mais on s’en fout déclame Charles, on a que dix minutes pour se ressaisir, on ne va pas commencer un cours sur le Coran. Où tu veux en venir Robert ?
- Dans la Bible il est écrit (crispation générale des joueurs autour) - Tu es poussière et tu retourneras poussière, Genèse 3.19. Je veux que tous ici, croyants ou non, s’approprient cette phrase et l’appliquent sur le terrain. Je ne veux pas du placage classique mais du découpage de boucherie de gros. Je ne veux pas de la percussion motivée mais du crash test de constructeur auto. Je ne veux pas que l’on résiste héroïquement mais vivre une insurrection millésime 1789. Mes amis, ceci est mon corps prêt au sacrifice pour le groupe et nous allons faire notre djihad dans leur en-but et gagner ce match, fini Robert, yeux vers le ciel et aura autour du crâne.
- Djihad ? Ca se dit chez les cathos ? Interpelle Nico, croyant lui aussi mais seulement lors d’une élection papale et quand l’élu du Vatican passe à Paris.
- Disons que dans notre Eglise, on prend se qui se fait de mieux. Croisade c’est ringard, limite un peu vieillot. Djihad c’est un terme marketing internationalement connu et les gens comprennent de suite.
- Ok reçu, c’est Charles, tête de mort vivant après cette mi-temps qui reprend le flambeau.
- On va faire une Djihad de Croisade. Elie, toi qui est juif, c’est vendeur pour toi ?
- Si vous me dîtes que leurs en-but c’est Jérusalem, j’adhère de suite, répond Elie.
- C’est Jérusalem, confirme très sérieusement Charles.
- Les gars, ressaisissez vous. Faut aborder cette deuxième phase de jeu comme de jeunes puceaux dans un bordel espagnol, de la motivation envahissante, généreux dans l’effort et baïonnette pointée vers le ciel. Les interventions et paraboles de Bruno finissent souvent dans des maisons closes, à défaut sur les trottoirs de la rue Saint Denis ou dans un bouge de Shanghai.
- Archi, crie Charles.
- Archi, c’est Archibald. Un type avec un parpaing à la place de la tête, une brosse à balai en guise de sourcil et une calandre de camion faisant office de thorax. Agent de sécurité dans la vie et sur le terrain aussi.
Archibald traverse le terrain comme un Hummer, sans éviter les obstacles, et rejoint le groupe exténué. C’est l’impact player des matchs, ou plutôt d’une mi-temps. Il a beau ressembler à un tracteur John Deere, il a une autonomie que de quarante minutes.
- Archi, tu vas rentrer pour cette deuxième mi-temps, annonce Charles avec un grand sourire.
Archibald, c’est une montagne sur deux jambes. La nature lui offrant un corps d’une puissance exceptionnelle, lui retira un peu de logiciel pour compenser. Il faut tout lui expliquer à Archi, avec patience et gentillesse pour éviter sa susceptibilité. Il est tellement zélé qu’il a interdit des clients, dans le cadre de son boulot d’agent de la sécurité d’une banque, de rentrer dans l’établissement.
Du coup, sa société contente malgré tout de lefficacité du bonhomme et incapable de lui signifier une mise à pied a préféré l’affecter gardien de nuit d’une usine de retraitement de déchets. Comme cela, il ne voit personne, excepté ceux qui veulent rentrer sans badge au milieu de la nuit et qui n’ont rien à faire sur le lieu, d’où la présence d’Archi.
- Archi, commence Charles avec précaution, eux en face, tout en vert, méchants. Nous, même maillot que toi, poulet rôti, gentils. Ca va ?
Un son rauque, rappelant un démarreur de camion, acquiesçât.
Avec Archi, il vaut mieux reprendre les bases de qui est avec qui dès le début, parcequ’après, on ne l’arrête plus et il n’écoute plus.
On a réussi à créer du bon rugby, à répondre à cette invasion de Talibans avec nos gros, sevrés de charcuterie et nos arrières, perfusés au thé vert. Quelques fois, de soldat sur le terrain on s’est retrouvé à faire du social entre nous. C’est à qui allait consoler l’autre et le motiver pour repartir au combat. Nous avions notre combinaison maison - L’EPAD, un mouvement de gros vers l’avant qui protège un petit tenant fermement le ballon, a souvent fonctionné et nous a amené jusqu’au Sacré Graal, La Défense, leur en-but.
Le match s’est terminé sur un coup de sifflet de l’arbitre qui a rappelé à Elie le son du Chofar le jour de Kippour, marquant la fin du jeun ou la sirène de l’usine de fin de journée pour Archi, une libération, une extase de repos, la paix des braves, le doigt de Dieu sur nos corps meurtris, le congé dominical mérité. Dès la fin de la joute, les joueurs afghans et leurs familles autour du terrain, crièrent un Allah Akbar tellement vrai, généreux et communicatif que l’on a répondu en coeur par un “santé ! Bonheur ! Sexe et bonne humeur !” partagé par tous les acteurs du terrain.
Le rugby rapprochent les peuples, nous en sommes la preuve, le témoignage meurtri et heureux sur ce terrain perdu de Kandahar.
L’après match organisé par l’équipe visiteuse se déroula dans un pub local, une espèce de taverne à l’ancienne avec un tavernier à l’ancienne aussi - moustachu, bourru, tablier blanc sale et voix qui porte au-delà du comptoir.
Au milieu de la nuit, Bernard essaya d’expliquer à Saber qu’il serait possible de faire de la bière à base de fleurs de pavot, à défaut de houblon dans la région, sans être en contradiction avec les interdits religieux. Mamoud démontra à François, entre deux litres de thé, qu’envoyer des joueurs de rugby aurait un impact plus pertinent qu’une centaine de Gendarmes français éparpillés à Kaboul à former des policiers afghans à gérer des ronds-points que seules, les chèvres et les moutons empruntent.
Jean-Marc en pleine rhétorique politico-rugbystique avec Siham, le neuf d’en face, amena le sujet sur l’idée d’un tournoi des 6 Nations dans la région, avec l’Afghanistan, le Pakistan, les Ouzbeks, les Tadjiks, les Iraniens et l’Inde. Pas l’Inde répliqua sèchement Siham. Jean-Marc, conciliant et compréhensif, responsable des litiges dans une société d’assurance la semaine, proposa spontanément les îles Malouines qui fût acceptées par Siham sans savoir où elles se trouvaient.
Après une nuit gargantuesque à déguster des koftas chalaw, une spécialité locale de boulette de viande hachée relevée au gingembre servi avec un riz basmati à se taper la tête contre les murs, des morghs matar, du poulet petits pois aux piment qui donne envie à un athée de croire en Dieu l’espace d’un repas, de kilos de aashak, des pâtes fraîches remplies de poireaux avec sauce viande de boeuf à faire regretter à un végétarien son régime de tofou et de finir d’éponger tout le thé vert d’Asie Centrale, nous nous quittâmes, la larme à l’oeil, main sur le coeur, l’autre sur le ventre qui réagissait à la dose pas raisonnable de piment avalé, des souvenirs pleins la tête et le billet d’avion dans les poches.
On a fait attention à ce qu’Adrien ne ramène pas un kilo de souvenir illicite quand aux autres, ils avaient écumé les épiceries pour ramener des goulab jamun, petites pâtisseries au sirop, saupoudrées de noix de coco râpée idéales pour le long voyage du retour et d’abruchums, gâteaux en filaments de miel et amandes effilées. A part l’artisanat culinaire local, il n’y a rien d’autres excepté toute une gamme de burqa mais seulement en trois couleurs : noire, bleue turquoise et grise. Mais une burqa en Europe, à part en faire des doubles rideaux, personne dans le groupe n’en a vu l’intérêt, à part Archi qui en a acheté cinq pour une descente de lit.
Les séparations sont un moment unique où l’on peut tout promettre sans se contredire tout en restant crédible. Un des seuls moments de notre existence où l’on peut mentir tout en disant la vérité. Ou le contraire.
Kandahar, ce fut un grand moment de rugby, mais content de rentrer. Enfin.
Fin
- vichenzo
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Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
c'est trop long
Re: [TOPIC] des blagues qui ne méritent pas un topic
Comme dit Ginette, plus c'est long, plus c'est bon.vichenzo a écrit :c'est trop long
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