Resident Evil : Damnation
Publié : 21 sept. 2012, 05:39
Après le demi-échec de RE:Degeneration Capcom nous offre 1H40 de pur plaisir grâce à une motion capture absolument spectaculaire, des combats titanesques, une storyline qui amène tout droit au futur très attendu RE6 (le jeu).
Bref ce RE:Damnation est une vrai réussite qui ravira les fans de la première heure comme les occasionnels spectateurs en manque de films qui mélangent habilement horreur/action/gore/suspense/intrigue politique et une dose de dialogues savoureux.
J'ai eu enfin l'impression de revivre un véritable Resident Evil loin mais alors très très loin de l'interminable série de Paul W.S Anderson. Tant Mieux et bis!
[BBvideo 425,350][/BBvideo]
Synopsis :
"Suite du film "Resident Evil: Degeneration", se concentrant sur le personnage de Leon S. Kennedy aux prises avec des créatures monstrueuses dans une ville d'Europe de l'Est en guerre."
En effet ici nous retrouvons ce bon vieux Léon (qui pour le coup pourrait prendre le titre de nettoyeur) balancé dans l'un de ces pays de l'est, vestige du bloc soviétique, ou comme l'avait dit feu Thierry Roland " [...] dans ce pays à la con […] où les avions sont en retard, et ou les routes ne sont pas finies."
Son rôle?, comme d'habitude vous diront les plus anciens, faire le ménage au niveau des armes biologiques.
Sans trop spoilé il n'y a dans ce Damnation aucune référence à Umbrella (ou peut-être une fois mais c'est tellement insignifiant!). Pourtant le bestiaire (outre des zombies) est clairement une création de la corporation pharmaceutique (dit-elle!). L'ombre de celle-çi pèse mais ne se montre jamais, un délice!. Concernant les zombies (une peu la troupe d'infanterie/chair à canon d'Umbrella) ils sont du type Las Plagas qui a fait son apparition dans RE4 (avec Léon justement!), donc des Zombies parfois lents (inactifs) et parfois rapides (actifs), certains même marmonnent un mot ou deux, ce qui laisse à penser une évolution du parasite originel.
Nous retrouvons aussi la très belle et vénéneuse Ada Wong, qui, s'il-faut vous le rappeler à participer depuis RE2 à toute les intrigues, une super espionne qui en pince décidément pour Léon mais n'oublie jamais ou se trouve son intérêt.
je parlais plus tôt de combats titanesques, c'est peu de le dire!. Pour conserver l'intégrité de ce fim animé je ne vous en dirais pas plus mais croyez moi sur parole, vous allez être souffler!.
Très peu de temps mort sont à signalé malgré un début que certains trouverons lent, pour le joueur de la première que je suis ça n'est absolument pas le cas, on pose la scène, l'ambiance, on débute la partie avec un ridicule flingue ou un couteau ou même un pied de biche pour finir avec... à vous de le découvrir! . L'intrigue en elle même prends tout son sens vers la 2e partie du film et la mes ami(e)s... vous allez en avoir pour votre argent!. Quand aux personnages "secondaires", ils sont parfaitement intégrés et Ô miracle! mieux que ça!, ils sont vraiment "vivants", pas juste des faire valoir mutilés à la première occasion, non, les seconds rôles ont vraiment leurs mot à dire dans cet épisode.
Capcom ne s'est pas du tout moqué de ses fans, un véritable bijou d'animation full motion capture, une bande-son qui roxe du poney berlinois, un doublage de très haute qualité, et fait remarquable, la version Française est vraiment excellente, limite meilleure que la VO (qui est parfois très/trop surjoué).
En bref, ce Resident Evil : Damnation se devra d'être dans votre BRayThèque et en bonne place s'il-vous-plait!. De quoi nous faire oublier, un temps seulement, l'horripilante série d'Anderson avec son héroïne Ultra-Violette aux tenues SM (quoique dans le dernier RE:Retribution, si elle garde sa tenue moulante en cuir/latex, elle est un peu plus humaine et s'en prends plein la tronche). Tient, je me suis même pris sans m'en rendre compte à tenir ma manette de jeu à la main attendant de pouvoir poutré du zombie/créatures diverses et variées. Une tuerie je vous dit!.
Cerise sur le gâteau, l'affiche du film ressemble à une jaquette de la Playstation première du nom, quand je vous dit que Capcom à retrouvé ENFIN ce qui à fait de Resident Evil son succès!
Bref ce RE:Damnation est une vrai réussite qui ravira les fans de la première heure comme les occasionnels spectateurs en manque de films qui mélangent habilement horreur/action/gore/suspense/intrigue politique et une dose de dialogues savoureux.
J'ai eu enfin l'impression de revivre un véritable Resident Evil loin mais alors très très loin de l'interminable série de Paul W.S Anderson. Tant Mieux et bis!
[BBvideo 425,350][/BBvideo]
Synopsis :
"Suite du film "Resident Evil: Degeneration", se concentrant sur le personnage de Leon S. Kennedy aux prises avec des créatures monstrueuses dans une ville d'Europe de l'Est en guerre."
En effet ici nous retrouvons ce bon vieux Léon (qui pour le coup pourrait prendre le titre de nettoyeur) balancé dans l'un de ces pays de l'est, vestige du bloc soviétique, ou comme l'avait dit feu Thierry Roland " [...] dans ce pays à la con […] où les avions sont en retard, et ou les routes ne sont pas finies."
Son rôle?, comme d'habitude vous diront les plus anciens, faire le ménage au niveau des armes biologiques.
Sans trop spoilé il n'y a dans ce Damnation aucune référence à Umbrella (ou peut-être une fois mais c'est tellement insignifiant!). Pourtant le bestiaire (outre des zombies) est clairement une création de la corporation pharmaceutique (dit-elle!). L'ombre de celle-çi pèse mais ne se montre jamais, un délice!. Concernant les zombies (une peu la troupe d'infanterie/chair à canon d'Umbrella) ils sont du type Las Plagas qui a fait son apparition dans RE4 (avec Léon justement!), donc des Zombies parfois lents (inactifs) et parfois rapides (actifs), certains même marmonnent un mot ou deux, ce qui laisse à penser une évolution du parasite originel.
Nous retrouvons aussi la très belle et vénéneuse Ada Wong, qui, s'il-faut vous le rappeler à participer depuis RE2 à toute les intrigues, une super espionne qui en pince décidément pour Léon mais n'oublie jamais ou se trouve son intérêt.
je parlais plus tôt de combats titanesques, c'est peu de le dire!. Pour conserver l'intégrité de ce fim animé je ne vous en dirais pas plus mais croyez moi sur parole, vous allez être souffler!.
Très peu de temps mort sont à signalé malgré un début que certains trouverons lent, pour le joueur de la première que je suis ça n'est absolument pas le cas, on pose la scène, l'ambiance, on débute la partie avec un ridicule flingue ou un couteau ou même un pied de biche pour finir avec... à vous de le découvrir! . L'intrigue en elle même prends tout son sens vers la 2e partie du film et la mes ami(e)s... vous allez en avoir pour votre argent!. Quand aux personnages "secondaires", ils sont parfaitement intégrés et Ô miracle! mieux que ça!, ils sont vraiment "vivants", pas juste des faire valoir mutilés à la première occasion, non, les seconds rôles ont vraiment leurs mot à dire dans cet épisode.
Capcom ne s'est pas du tout moqué de ses fans, un véritable bijou d'animation full motion capture, une bande-son qui roxe du poney berlinois, un doublage de très haute qualité, et fait remarquable, la version Française est vraiment excellente, limite meilleure que la VO (qui est parfois très/trop surjoué).
En bref, ce Resident Evil : Damnation se devra d'être dans votre BRayThèque et en bonne place s'il-vous-plait!. De quoi nous faire oublier, un temps seulement, l'horripilante série d'Anderson avec son héroïne Ultra-Violette aux tenues SM (quoique dans le dernier RE:Retribution, si elle garde sa tenue moulante en cuir/latex, elle est un peu plus humaine et s'en prends plein la tronche). Tient, je me suis même pris sans m'en rendre compte à tenir ma manette de jeu à la main attendant de pouvoir poutré du zombie/créatures diverses et variées. Une tuerie je vous dit!.
Cerise sur le gâteau, l'affiche du film ressemble à une jaquette de la Playstation première du nom, quand je vous dit que Capcom à retrouvé ENFIN ce qui à fait de Resident Evil son succès!