Albator, Corsaire de l'espace
Publié : 25 avr. 2014, 06:39
Bon je me fend d'une... "petite" critique, bonne lecture!
Enchanté, c'est le mot qui m'est venu à l'esprit après visionnage.
Cependant un petit rappel à ceux qui disent "Il est trop jeune cet Albator!" .
Eh bien oui! ce sont les origines du célèbre pirate de l'espace, ne cherchez pas plus loin.
J'ai également un doute sur le terme corsaire, qui est, je cite Wikipédia :
Graphiquement on en prends plein les dents!, vous vouliez du combat spatial? en voila, plein! le vaisseau dénommé Arcadia qui est en fait l'Arcadia 5 avec le même design que le Death Shadow 2 (ça c'est pour la minute geek) est juste magnifique, terrifiant avec sa fameuse tête de mort en proue qui donnerait la chiasse a n'importe quel ennemis le voyant et je les comprendrais!. A coté les vaisseaux de la coalition Gaïa font pâle figure ce qui n'empêche pas des combats ultra impressionnants, ça tire et explose dans tout les sens, c'est ça aussi Albator, en fait, avouons nous le juste une minute, c'est surtout ça.
Le texturage 3D des personnages sont d'un réalisme à quasi toute épreuve, un bonus à était porté sur notre anti-héros, c'est bien normal, il à une classe internationale cet Albator. Seul point négatif pour Mîmé, originellement elle n'a pas de bouche ni de pupille. Ca ne retire rien à sa beauté diaphane mais bon... puriste un jour...
Concernant Yattaran la c'est juste une question de point de vue, il est vrai que le petit gnome de la série original à pris un sérieux coup de scalpel dans ce film!, il est aussi beaucoup plus hargneux et bagarreur que son original.
La musique est épique et accompagne avec délice chaque passage.
L'histoire maintenant...
Le réalisateur (Shinji Aramaki) a pris grand soin de de faire le pari du "tu connais pas? pas grave, pas besoin". C'est très bien ainsi, voici un Albator rongé jusqu'aux nucléides par la haine de lui-même, par ses actions passés et ces conséquences, on est surpris d'apprendre que le capitaine le plus recherché de la galaxie aurait plus de 100 ans, ne peut pas être tué et ce grâce a la fameuse matière noire qui anime le vaisseau et aurait pris possession de tout son être, en bref, un être invincible et immortel que même Son goku ne pourrait abattre des lors. Toute l'intrigue tourne autour d'une décision malencontreuse d'Albator suivi par les satellites de ses acolytes entre une histoire d'amour et de haine fraternelle, la captation du pouvoir par le mensonge ainsi qu'un peu d'écologie (c'est dans l'air du temps) et c'est à peu près tout, le réalisateur ayant déjà bien assez de matière pour ne pas non plus en rajouter une couche qui serait trop indigeste (à l'image de mon pavé) et briserait la belle mécanique huilé du film.
C'est assez fort en fait, car cela donne envie d'en savoir plus et paf! on se surprend a rechercher avec une ferveur toute religieuse tout les épisodes des années 70/80 (ou à défaut à passer 3 plombes sur Wikipédia, c'est moins sexy mais ça renseigne bien).
Au final cet Albator 2013 est un pur chef d'oeuvre du genre space-opéra, certains y verront quelques longueurs inutiles tandis que moi je n'y vois que le plaisir prolongé de l'histoire, c'est ça le problème avec les critiques d'aujourd'hui, il faut que ça pète vite, fort et qu'on passe à la suite sans plus attendre. Heureusement Arakami n'en a eue cure. On ressort aussi ave cette fameuse pensé qui dit "en fait, les pirates dans l'histoire sont ces gros tas de saindoux flétrissants du conseil de Gaïa!, le seul dans l'histoire a vouloir sauver notre cul de l'extermination et par la même occasion notre planète c'est Albator".
Rien est si évident dans ce film, rien est catégorique sauf peut-être une chose, c'est une réussite à tout les points de vue.
Enchanté, c'est le mot qui m'est venu à l'esprit après visionnage.
Cependant un petit rappel à ceux qui disent "Il est trop jeune cet Albator!" .
Eh bien oui! ce sont les origines du célèbre pirate de l'espace, ne cherchez pas plus loin.
J'ai également un doute sur le terme corsaire, qui est, je cite Wikipédia :
Clairement Albator ne se bat pour aucun pays ou gouvernement et encore moins pour une couronne.D'ailleurs c'est simple il a "le monde" au cul!. C'est donc un pirate qui aborde, pille et tue sans pitié et sans remords comme tout bon pirate qui se respecte. Ceci étant mon point de vue passons."Un corsaire est un membre de l'équipage d'un navire civil armé, autorisé par une lettre de marque (également appelée « lettre de commission » ou « lettre de course ») à attaquer en temps de guerre, tout navire battant pavillon d'États ennemis, et particulièrement son trafic marchand, laissant à la flotte de guerre le soin de s'attaquer aux objectifs militaires. Les corsaires ne doivent donc pas être confondus avec les pirates puisqu'ils exercent leur activité selon les lois de la guerre, uniquement en temps de guerre et avec l'autorisation de leur gouvernement. Capturés, ils ont droit au statut de prisonnier de guerre."
Graphiquement on en prends plein les dents!, vous vouliez du combat spatial? en voila, plein! le vaisseau dénommé Arcadia qui est en fait l'Arcadia 5 avec le même design que le Death Shadow 2 (ça c'est pour la minute geek) est juste magnifique, terrifiant avec sa fameuse tête de mort en proue qui donnerait la chiasse a n'importe quel ennemis le voyant et je les comprendrais!. A coté les vaisseaux de la coalition Gaïa font pâle figure ce qui n'empêche pas des combats ultra impressionnants, ça tire et explose dans tout les sens, c'est ça aussi Albator, en fait, avouons nous le juste une minute, c'est surtout ça.
Le texturage 3D des personnages sont d'un réalisme à quasi toute épreuve, un bonus à était porté sur notre anti-héros, c'est bien normal, il à une classe internationale cet Albator. Seul point négatif pour Mîmé, originellement elle n'a pas de bouche ni de pupille. Ca ne retire rien à sa beauté diaphane mais bon... puriste un jour...
Concernant Yattaran la c'est juste une question de point de vue, il est vrai que le petit gnome de la série original à pris un sérieux coup de scalpel dans ce film!, il est aussi beaucoup plus hargneux et bagarreur que son original.
La musique est épique et accompagne avec délice chaque passage.
L'histoire maintenant...
Le réalisateur (Shinji Aramaki) a pris grand soin de de faire le pari du "tu connais pas? pas grave, pas besoin". C'est très bien ainsi, voici un Albator rongé jusqu'aux nucléides par la haine de lui-même, par ses actions passés et ces conséquences, on est surpris d'apprendre que le capitaine le plus recherché de la galaxie aurait plus de 100 ans, ne peut pas être tué et ce grâce a la fameuse matière noire qui anime le vaisseau et aurait pris possession de tout son être, en bref, un être invincible et immortel que même Son goku ne pourrait abattre des lors. Toute l'intrigue tourne autour d'une décision malencontreuse d'Albator suivi par les satellites de ses acolytes entre une histoire d'amour et de haine fraternelle, la captation du pouvoir par le mensonge ainsi qu'un peu d'écologie (c'est dans l'air du temps) et c'est à peu près tout, le réalisateur ayant déjà bien assez de matière pour ne pas non plus en rajouter une couche qui serait trop indigeste (à l'image de mon pavé) et briserait la belle mécanique huilé du film.
C'est assez fort en fait, car cela donne envie d'en savoir plus et paf! on se surprend a rechercher avec une ferveur toute religieuse tout les épisodes des années 70/80 (ou à défaut à passer 3 plombes sur Wikipédia, c'est moins sexy mais ça renseigne bien).
Au final cet Albator 2013 est un pur chef d'oeuvre du genre space-opéra, certains y verront quelques longueurs inutiles tandis que moi je n'y vois que le plaisir prolongé de l'histoire, c'est ça le problème avec les critiques d'aujourd'hui, il faut que ça pète vite, fort et qu'on passe à la suite sans plus attendre. Heureusement Arakami n'en a eue cure. On ressort aussi ave cette fameuse pensé qui dit "en fait, les pirates dans l'histoire sont ces gros tas de saindoux flétrissants du conseil de Gaïa!, le seul dans l'histoire a vouloir sauver notre cul de l'extermination et par la même occasion notre planète c'est Albator".
Rien est si évident dans ce film, rien est catégorique sauf peut-être une chose, c'est une réussite à tout les points de vue.